A seulement 28 ans, Maxime Jacquet, le "bad boy du design", est un vrai self-made man. Fonceur et déterminé, il a toujours su où il voulait aller et comment y arriver, tout ça en n'ayant jamais suivi d'études. Aujourd'hui, le styliste liégeois possède plusieurs compagnies et peut compter sur sa famille pour l'aider à garder les pieds sur terre. Son secret : le travail et encore le travail !
Maxime Jacquet est né le 12 septembre 1988 près de Liège. Dès son plus jeune âge, il s'intéresse à la décoration d’intérieur et le design. Avec le soutien inconditionnel de ses parents, il décide de partir pour Los Angeles, la ville de toutes les tentations. En 2010, à Los Angeles, il travaille avec le designer français Philippe Puron. Maxime Jacquet se fait un nom en proposant un style original, haut de gamme, qui mélange tous les styles, avec une affection particulière pour les codes de la haute couture et le style pop. Il plaît très vite à l’élite américaine dont il devient une sorte de ‘designer-coqueluche’. Il adore les médias et passe dans plusieurs show télé, notamment sur NBC et CBS. Ses projets sont particulièrement variés, que ce soit à Los Angeles, Beverly Hills ou Dubaï.
Mais ne comptez pas sur Maxime pour s'entourer de superflu. Le jeune homme garde les pieds sur terre et surtout n'a pas le temps de se perdre. Il dit travailler en moyenne 20h par jour, être resté très proche de sa famille qui lui a permis de garder une relative simplicité. Relative en effet, quand on compte plusieurs sociétés à son nom à seulement 28 ans et qu'on a décroché le prix du designer de l'année en Chine. Son rêve : construire une marque comme Chanel ou Vuitton et trouver des artistes qui pourront reprendre les codes qui ont fait sa renommée. Des codes aussi simples que lui : des constrastes, le blanc et le noir, une palette neutre pour permettre aux couleurs d'exploser. Maxime aime surprendre et c'est ce qui plaît à ses clients dont il tait le nom dans toutes les langues.